วันอาทิตย์ที่ 5 สิงหาคม พ.ศ. 2550

Cerise


Histoire
Les populations européennes connaissaient et consommaient depuis au moins le IVe millénaire av. J.-C., une variété de cerise autochtone, celle du merisier sauvage. La sélection permettant peu à peu de sélectionner ceux aux fruits les plus gros et les plus sucrés, les plus précoces ou les plus succulents.
Le grand gastronome
romain Lucullus est le premier à en avoir parlé. Selon la légende il aurait rapporté la « perle rouge » à Rome au retour de sa campagne contre le roi du Pont Mithridate VI (vers 70 av. J.-C.). Considérant que certaines variétés de cerise moderne sont originaires d'Asie mineure, cela peut être vraisemblable. Par ailleurs, le nom italien de la cerise, ciliegia rappelle effectivement le nom de la région de Cilicie, en Asie mineure. Cependant le cerisier était déjà connu des Grecs qui le nommaient kerasion, d'après la ville aujourd'hui appelée Giresun ou Cerasonte.
En
turc on désigne la cerise par le mot "kiraz" qui vient du nom antique de la ville "kerasous". En français cerise, en anglais cherry, en espagnol cereza viennent également de ce nom antique de la ville.
Jules Verne, dans un ouvrage peu connu "Kéraban-le-Têtu", fait passer ses héros le long de la mer Noire en direction d'Istanbul, ils traversent une ville nommée Kérésoum où « le cerisier abonde ». Il mentionne que le bois de ces arbres est aussi utilisé pour faire des pipes.
En
France, il fut cultivé pour le commerce dès le haut moyen-âge, ses fruits délicats et sucrés étaient appréciés, mais aussi son bois, à la texture et à la finesse délicate. Cependant c'est à Louis XV, qui aimait beaucoup ce fruit, que l'on doit l'optimisation et la culture intensive du cerisier moderne.

Variétés
Il existe de nombreuses variétés de cerises réparties en deux catégories, les douces et les acides. Plus de deux cents variétés de cerises sont vendues sur les marchés en Europe, auxquelles il faut ajouter autant de variétés très locales, génétiquement différenciées au cours du temps, en fonction de l'acidité des sols et des divers essais de greffons.
Parmi les douces, (les cerises proprement dites) on trouve les
bigarreaux qui sont des fruits doux fermes et sucrés, avec une infinité de variétés (burlat, napoléon, cerise de Céret, noire de Méched, Guillaume, Reverchon, summit, hedelfingen...).
Parmi les acides, on trouve les
guignes à la chair molle, les griottes particulièrement acidulées, les merises, et les cerises sauvages, au nombre de trois variétés :
Les
amarelles, essentiellement la cerise de Montmorency
Les griottes, dont la plus connue est la griotte du Nord
La cerise anglaise, peu consommée car très aigre


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